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Auteur mostéfa khiati |
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Titre : Guide des maladies infectiauses et parasitaires Type de document : texte imprimé Auteurs : mostéfa khiati, Auteur Editeur : office des dublication universitaire Année de publication : 2011 Importance : 266 p. Présentation : ills. Format : 21 cm. ISBN/ISSN/EAN : 978-9961-0-0728-0 Langues : Français (fre) Mots-clés : Guide des maladies infectiauses et parasitaires Index. décimale : 610 Résumé :
La formation paramédicale a depuis longtemps gravis les échelons de la noblesse la place la place de la paramédicale dans l'équipe de santé ou dans la pyramide de la santé n'est plus a souligner .........En ligne : http://bibfac.univ-tlemcen.dz/bibshs/catalog.php?categ=modif&id=6206 Guide des maladies infectiauses et parasitaires [texte imprimé] / mostéfa khiati, Auteur . - office des dublication universitaire, 2011 . - 266 p. : ills. ; 21 cm.
ISBN : 978-9961-0-0728-0
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Guide des maladies infectiauses et parasitaires Index. décimale : 610 Résumé :
La formation paramédicale a depuis longtemps gravis les échelons de la noblesse la place la place de la paramédicale dans l'équipe de santé ou dans la pyramide de la santé n'est plus a souligner .........En ligne : http://bibfac.univ-tlemcen.dz/bibshs/catalog.php?categ=modif&id=6206 Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité BFSS33433 610-616-01/01 Livre Magasin d'ouvrages 610 santé Exclu du prêt BFSS33434 610-616-01/02 Livre Magasin d'ouvrages 610 santé Disponible
Titre : La medecine en algerie au cours de la periode ottomane Type de document : texte imprimé Auteurs : mostéfa khiati, Auteur Editeur : houama Année de publication : 2013 Importance : 159 p. Présentation : couv.ill.en coul Format : 21 cm. ISBN/ISSN/EAN : 978-9961-65-699-0 Langues : Français (fre) Mots-clés : La medecine en algerie au cours de la periode ottomane Index. décimale : 610 Résumé :
L’Algérie au temps de la splendeur musulmane avait alors une position géographique privilégiée et stratégique où se rendaient de nombreux savants et étudiants en quête de science et de savoir suivant le vaste mouvement culturel où se distinguaient principalement les villes algériennes de l’islam qui rayonnaient à l’instar de Tlemcen, Bejaia, Oran, Tahert, Alger, Annaba, Constantine, Cherchell, Ténès et Mostaganem.
L’histoire de la médecine en Algérie est un domaine disciplinaire qui reste totalement inconnu du public. Elle a pourtant existé et s’est propagée lorsque le Maghreb a été dans son âge d’or le centre de rayonnement civilisationnel malheureusement interrompu suite aux guerres de religion menées par les Espagnols de la chrétienté pour la reconquête de l’Andalousie alors foyer brillant de la science et du savoir initié par les penseurs arabes d’Orient. Des centaines de milliers de musulmans ainsi que des tribus juives issus de royaumes berbères convertis à la nouvelle religion, avaient alors regagné l’Algérie dont les royaumes d’alors délimitaient les frontières. L’Algérie au temps de la splendeur musulmane avait alors une position géographique privilégiée et stratégique où se rendaient de nombreux savants et étudiants en quête de science et de savoir suivant le vaste mouvement culturel où se distinguaient principalement les villes algériennes de l’islam qui rayonnaient à l’instar de Tlemcen, Bejaia, Oran, Tahert, Alger, Annaba, Constantine, Cherchell, Ténès et Mostaganem.
C’est le panorama de ces villes dotées d’un incroyable système d’assistance social au sein d’un riche complexe urbain que nous donne à lire le professeur Khiati après un précédent ouvrage intitulé Histoire de la médecine en Algérie - de l’Antiquité à nos jours. Cette nouvelle publication qui pourrait être d’utilité publique pour nos étudiants de médecine désireux de parfaire leurs connaissances des origines de cette discipline dans notre contrée, origines intimement liées à l’histoire de la civilisation musulmane en Afrique du Nord, qui avait autrefois connu ses heures de gloires grâce à d’éminents savants, a le mérite d’apporter de précieuses informations contenues dans une liste biographique des médecins célèbres de l’Algérie médiévale avec plus de quatre-vingt-dix noms recensés. C’est une entreprise certainement de longue haleine et beaucoup de temps passé à se documenter dans les quelques ouvrages de référence que notre auteur aura suivie, guidé par l’amour de son métier l’ayant conduit à reconstruire le parcours dans toutes ses spécificités qu’a dû emprunter entre le IXe et le XVe siècle la médecine algérienne, une médecine liée à la pratique religieuse dont certains aspects dans la pratique subsistent dans les zones rurales aujourd’hui encore. On apprend ainsi comment les scientifiques et les penseurs de l’époque se sont grandement inspirés de la médecine des anciens au point de l’assimiler complètement, de la contredire parfois et même de l’étoffer : « Il faut rappeler qu’au moment de l’avènement de la civilisation arabo-musulmane, la pensée scientifique de l’époque, très fortement influencée par les auteurs grecs, reposait sur la théorie des éléments et des humeurs. En critiquant ces théories et parfois en les modifiant tellement jusqu’à en perdre leur concept original, les auteurs musulmans n’ont pas été des suivistes des auteurs grecs mais bien des continuateurs », indique l’auteur.
La philosophie naturelle ancienne comme les sciences naturelles, la physique, l’astronomie, l’anatomie, l’astrologie, la métaphysique étaient basés sur la théorie aristotélicienne des quatre éléments qui composent le monde à savoir : la terre, l’eau, l’air et le feu. A cette théorie, des auteurs arabes notamment Ibn Sina (Avicenne) et Ibn Ruchd (Averroès) ont ajouté une troisième composante qui est celle des « Principes ». Appliquée à la biologie, elle divise aussi les êtres vivants en quatre règnes : minéral, végétal, animal et humain et sur la médecine elle devient la « théorie des humeurs ». L’auteur explique en outre comment les médecins maghrébins s’inspiraient du texte coranique et des préceptes de l’islam notamment ceux du hadith du Prophète, qui exhortaient les croyants à observer une hygiène stricte lors des ablutions, de contrôler du régime alimentaire, et d’éviter les excès, enfin de proscrire certaines boissons, etc. Mais l’auteur n’oublie pas de mentionner que la médecine que pratiquaient les Arabes était surtout d’essence médicinale sur la base de plantes et de végétaux mêlés à des huiles essentielles : « C’est aux auteurs arabo-musulmans que revient le mérite d’avoir identifié et catalogué la plupart des plantes médicinales, d’avoir précisé leurs vertus thérapeutiques et d’avoir défini leur utilisation chez l’homme » mentionne-t-il quelque part dans le texte avant de relever plus loin à propos de cette médecine naturelle : « Le développement de la médecine s’est fait progressivement. Les premiers grands médecins en Algérie apparurent à partir de l’hégire (XIIe ap. J-C). L’âge d’or peut être situé entre le VIIIe et le XVe ap. J-C, principalement à Bejaia et Tlemcen et dans une moindre mesure à Constantine. Cependant, à la différence des autres contrées, le niveau de formation, de production scientifique et d’apparition des grands noms en médecine est resté constant. »En ligne : http://bibfac.univ-tlemcen.dz/bibshs/catalog.php?categ=modif&id=6146 La medecine en algerie au cours de la periode ottomane [texte imprimé] / mostéfa khiati, Auteur . - houama, 2013 . - 159 p. : couv.ill.en coul ; 21 cm.
ISBN : 978-9961-65-699-0
Langues : Français (fre)
Mots-clés : La medecine en algerie au cours de la periode ottomane Index. décimale : 610 Résumé :
L’Algérie au temps de la splendeur musulmane avait alors une position géographique privilégiée et stratégique où se rendaient de nombreux savants et étudiants en quête de science et de savoir suivant le vaste mouvement culturel où se distinguaient principalement les villes algériennes de l’islam qui rayonnaient à l’instar de Tlemcen, Bejaia, Oran, Tahert, Alger, Annaba, Constantine, Cherchell, Ténès et Mostaganem.
L’histoire de la médecine en Algérie est un domaine disciplinaire qui reste totalement inconnu du public. Elle a pourtant existé et s’est propagée lorsque le Maghreb a été dans son âge d’or le centre de rayonnement civilisationnel malheureusement interrompu suite aux guerres de religion menées par les Espagnols de la chrétienté pour la reconquête de l’Andalousie alors foyer brillant de la science et du savoir initié par les penseurs arabes d’Orient. Des centaines de milliers de musulmans ainsi que des tribus juives issus de royaumes berbères convertis à la nouvelle religion, avaient alors regagné l’Algérie dont les royaumes d’alors délimitaient les frontières. L’Algérie au temps de la splendeur musulmane avait alors une position géographique privilégiée et stratégique où se rendaient de nombreux savants et étudiants en quête de science et de savoir suivant le vaste mouvement culturel où se distinguaient principalement les villes algériennes de l’islam qui rayonnaient à l’instar de Tlemcen, Bejaia, Oran, Tahert, Alger, Annaba, Constantine, Cherchell, Ténès et Mostaganem.
C’est le panorama de ces villes dotées d’un incroyable système d’assistance social au sein d’un riche complexe urbain que nous donne à lire le professeur Khiati après un précédent ouvrage intitulé Histoire de la médecine en Algérie - de l’Antiquité à nos jours. Cette nouvelle publication qui pourrait être d’utilité publique pour nos étudiants de médecine désireux de parfaire leurs connaissances des origines de cette discipline dans notre contrée, origines intimement liées à l’histoire de la civilisation musulmane en Afrique du Nord, qui avait autrefois connu ses heures de gloires grâce à d’éminents savants, a le mérite d’apporter de précieuses informations contenues dans une liste biographique des médecins célèbres de l’Algérie médiévale avec plus de quatre-vingt-dix noms recensés. C’est une entreprise certainement de longue haleine et beaucoup de temps passé à se documenter dans les quelques ouvrages de référence que notre auteur aura suivie, guidé par l’amour de son métier l’ayant conduit à reconstruire le parcours dans toutes ses spécificités qu’a dû emprunter entre le IXe et le XVe siècle la médecine algérienne, une médecine liée à la pratique religieuse dont certains aspects dans la pratique subsistent dans les zones rurales aujourd’hui encore. On apprend ainsi comment les scientifiques et les penseurs de l’époque se sont grandement inspirés de la médecine des anciens au point de l’assimiler complètement, de la contredire parfois et même de l’étoffer : « Il faut rappeler qu’au moment de l’avènement de la civilisation arabo-musulmane, la pensée scientifique de l’époque, très fortement influencée par les auteurs grecs, reposait sur la théorie des éléments et des humeurs. En critiquant ces théories et parfois en les modifiant tellement jusqu’à en perdre leur concept original, les auteurs musulmans n’ont pas été des suivistes des auteurs grecs mais bien des continuateurs », indique l’auteur.
La philosophie naturelle ancienne comme les sciences naturelles, la physique, l’astronomie, l’anatomie, l’astrologie, la métaphysique étaient basés sur la théorie aristotélicienne des quatre éléments qui composent le monde à savoir : la terre, l’eau, l’air et le feu. A cette théorie, des auteurs arabes notamment Ibn Sina (Avicenne) et Ibn Ruchd (Averroès) ont ajouté une troisième composante qui est celle des « Principes ». Appliquée à la biologie, elle divise aussi les êtres vivants en quatre règnes : minéral, végétal, animal et humain et sur la médecine elle devient la « théorie des humeurs ». L’auteur explique en outre comment les médecins maghrébins s’inspiraient du texte coranique et des préceptes de l’islam notamment ceux du hadith du Prophète, qui exhortaient les croyants à observer une hygiène stricte lors des ablutions, de contrôler du régime alimentaire, et d’éviter les excès, enfin de proscrire certaines boissons, etc. Mais l’auteur n’oublie pas de mentionner que la médecine que pratiquaient les Arabes était surtout d’essence médicinale sur la base de plantes et de végétaux mêlés à des huiles essentielles : « C’est aux auteurs arabo-musulmans que revient le mérite d’avoir identifié et catalogué la plupart des plantes médicinales, d’avoir précisé leurs vertus thérapeutiques et d’avoir défini leur utilisation chez l’homme » mentionne-t-il quelque part dans le texte avant de relever plus loin à propos de cette médecine naturelle : « Le développement de la médecine s’est fait progressivement. Les premiers grands médecins en Algérie apparurent à partir de l’hégire (XIIe ap. J-C). L’âge d’or peut être situé entre le VIIIe et le XVe ap. J-C, principalement à Bejaia et Tlemcen et dans une moindre mesure à Constantine. Cependant, à la différence des autres contrées, le niveau de formation, de production scientifique et d’apparition des grands noms en médecine est resté constant. »En ligne : http://bibfac.univ-tlemcen.dz/bibshs/catalog.php?categ=modif&id=6146 Réservation
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