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La chute de Constantinople, 1453 / Runciman, Steven
Titre : La chute de Constantinople, 1453 Type de document : texte imprimé Auteurs : Runciman, Steven, Auteur ; Auffret-Pignot, Hélène, Traducteur ; Laurent A. Motte, Préfacier, etc. Editeur : Paris : Tallandier Année de publication : 2007 Collection : Texto Importance : 348 p. Présentation : ill., couv. ill. en coul. Format : 18 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-84734-427-1 Note générale : Bibliogr. p. 315-333. Notes bibliogr. Index Langues : Français (fre) Langues originales : Anglais (eng) Mots-clés : Constantinople 1453 (Siège) Index. décimale : 949.618 Résumé : Le 29 mai 1453, Constantinople, capitale de l'Empire romain d'Orient depuis sa fondation en 330, tombe aux mains des Turcs. Le choc est terrible pour l'Occident chrétien, qui a pourtant négligé de secourir la ville. L'année 1453 a longtemps symbolisé, peut-être de manière excessive, la fin du Moyen Âge et le début des Temps modernes aux yeux des historiens. Elle fut, de fait, décisive pour deux peuples : les Turcs, qui y gagnèrent une capitale et s'établirent durablement sur le sol européen ; les Grecs, qui virent se clore le long chapitre byzantin et dont les humanistes vinrent nourrir l'élan de la Renaissance occidentale. 1453 : année heureuse pour les uns, funeste pour les autres, que raconte Steven Runciman à travers les fiévreux préparatifs du siège, la violence de l'assaut, la résistance dramatique d'une poignée de héros et l'effondrement sans surprise d'une cité depuis longtemps moribonde. La chute de Constantinople, 1453 [texte imprimé] / Runciman, Steven, Auteur ; Auffret-Pignot, Hélène, Traducteur ; Laurent A. Motte, Préfacier, etc. . - Paris : Tallandier, 2007 . - 348 p. : ill., couv. ill. en coul. ; 18 cm. - (Texto) .
ISBN : 978-2-84734-427-1
Bibliogr. p. 315-333. Notes bibliogr. Index
Langues : Français (fre) Langues originales : Anglais (eng)
Mots-clés : Constantinople 1453 (Siège) Index. décimale : 949.618 Résumé : Le 29 mai 1453, Constantinople, capitale de l'Empire romain d'Orient depuis sa fondation en 330, tombe aux mains des Turcs. Le choc est terrible pour l'Occident chrétien, qui a pourtant négligé de secourir la ville. L'année 1453 a longtemps symbolisé, peut-être de manière excessive, la fin du Moyen Âge et le début des Temps modernes aux yeux des historiens. Elle fut, de fait, décisive pour deux peuples : les Turcs, qui y gagnèrent une capitale et s'établirent durablement sur le sol européen ; les Grecs, qui virent se clore le long chapitre byzantin et dont les humanistes vinrent nourrir l'élan de la Renaissance occidentale. 1453 : année heureuse pour les uns, funeste pour les autres, que raconte Steven Runciman à travers les fiévreux préparatifs du siège, la violence de l'assaut, la résistance dramatique d'une poignée de héros et l'effondrement sans surprise d'une cité depuis longtemps moribonde. Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité E0113772 E940-949.618-01/ 01 Livre مخزن الكتب 949 Histoire des autres pays d'Europe Disponible E0113773 E940-949.618-01/ 02 Livre مخزن الكتب 949 Histoire des autres pays d'Europe Disponible E0113774 E940-949.618-01/ 03 Livre مخزن الكتب 949 Histoire des autres pays d'Europe Disponible E0113775 E940-949.618-01/ 04 Livre مخزن الكتب 949 Histoire des autres pays d'Europe Disponible E0113776 E940-949.618-01/ 05 Livre مخزن الكتب 949 Histoire des autres pays d'Europe Disponible Histoire d'Istanbul / Robert Mantran
Titre : Histoire d'Istanbul Type de document : texte imprimé Auteurs : Robert Mantran (1917-1999), Auteur Editeur : [Paris] : Fayard Année de publication : 1996 Collection : Histoire des grandes villes du monde Importance : 382 p. Présentation : ill., couv. ill. en coul. Format : 24 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-213-59246-6 Prix : 150 F Note générale : Bibliogr. p. 348-354. Index Langues : Français (fre) Mots-clés : Istanbul ( Turquie) Histoire Index. décimale : 949.618 Résumé : Byzance, Constantinople, Istanbul: sous ses trois noms, la seule ville au monde à être bâtie sur deux continents semblait faite pour dominer et commander à toute la terre . Au IV e siècle, Constantin y installe la capitale de l'Empire romain d'Orient pour y édifier une nouvelle Rome . Deux siècles plus tard, Justinien y réalise son rêve politique et fait construire Sainte-Sophie dont la perfection illustre aujourd'hui encore la grandeur de la capitale de l'Empire byzantin. Malgré les querelles religieuses qui l'agitent, la ville devient la plus grandiose de la chrétienté et le plus grand marché de l'Occident. Sa richesse provoque l'admiration des croisés, puis bientôt leur convoitise. Ils en font l'éphémère capitale de l'Empire latin d'Orient (1204-1261), mais la pillent de fond en comble. Constantinople ne s'en relèvera jamais. En 1453, le sultan ottoman Mehmed II s'en empare. Palais, mosquées, bains, bazars transforment petit à petit la ville grecque en ville turque. Elle devient le coeur du monde musulman à l'époque de Soliman le Magnifique. La magnificence du Grand Turc, la splendeur de sa capitale et les mystères de Topkapï éveillent la curiosité des visiteurs étrangers qui s'étonnent du bon gouvernement des Turcs, bien meilleur que le nôtre . Au XVIII e siècle, sous l'effet des luttes du Palais, le prestige de la Sublime Porte s'effrite. Une nouvelle manière de vivre apparaît alors: cafés, théâtres d'ombres se multiplient tandis que les rives du Bosphore se couvrent de yalis . Peu à peu, la cité passe de l'ottomanisme au cosmopolitisme. Les capitaux étrangers affluent, tout comme les romantiques et les archéologues. L'inauguration de l'Orient-Express, en 1883, accompagne la publication de guides touristiques... En moins d'un siècle, la vieille cité ottomane, déchue de son rôle politique dès les débuts de la République turque, allait devenir une mégapole bruyante et désordonnée, mais ses innombrables monuments nous disent encore sa gloire passée. Tous ceux qui ont vu Constantinople sont d'accord que cette ville est dans la plus belle situation qui soit au monde, en sorte qu'il semble que la nature l'ait faite pour dominer et commander à toute la terre. Jean Thévenot, XVII e siècle Le sérail du Grand Seigneur est la première chose que l'on voit en arrivant à Constantinople. Serraï en turc veut dire palais, et les Français, par corruption, disent sérail, le prenant seulement pour l'appartement où sont serrées les femmes. Jean Thévenot, XVII e siècle Rien ne se peut concevoir de plus charmant que cet abord de Constantinople. Lorsque j'y arrivai la première fois, je m'imaginai entrer dans une ville enchantée. G.J. Grelot, XVII e siècle Aucune cité n'a croqué les fruits du jardin des arts Avec autant d'appétit que notre ville C'est ici que tout homme de mérite atteint la gloire, Que toute perfection arrive à maturité. Nabi, XVII e siècle Une seule de tes pierres vaut un empire, Istanbul... O toi, sans pareil et sans prix. Nedim, XVII e siècle Robert Mantran, professeur émérite à l'Université de Provence, membre de l'Institut, a écrit de nombreux ouvrages sur le monde turc; sous sa direction a été publiée une Histoire de l'Empire ottoman, Paris, Fayard, 1989 . Histoire d'Istanbul [texte imprimé] / Robert Mantran (1917-1999), Auteur . - [Paris] : Fayard, 1996 . - 382 p. : ill., couv. ill. en coul. ; 24 cm. - (Histoire des grandes villes du monde) .
ISBN : 978-2-213-59246-6 : 150 F
Bibliogr. p. 348-354. Index
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Istanbul ( Turquie) Histoire Index. décimale : 949.618 Résumé : Byzance, Constantinople, Istanbul: sous ses trois noms, la seule ville au monde à être bâtie sur deux continents semblait faite pour dominer et commander à toute la terre . Au IV e siècle, Constantin y installe la capitale de l'Empire romain d'Orient pour y édifier une nouvelle Rome . Deux siècles plus tard, Justinien y réalise son rêve politique et fait construire Sainte-Sophie dont la perfection illustre aujourd'hui encore la grandeur de la capitale de l'Empire byzantin. Malgré les querelles religieuses qui l'agitent, la ville devient la plus grandiose de la chrétienté et le plus grand marché de l'Occident. Sa richesse provoque l'admiration des croisés, puis bientôt leur convoitise. Ils en font l'éphémère capitale de l'Empire latin d'Orient (1204-1261), mais la pillent de fond en comble. Constantinople ne s'en relèvera jamais. En 1453, le sultan ottoman Mehmed II s'en empare. Palais, mosquées, bains, bazars transforment petit à petit la ville grecque en ville turque. Elle devient le coeur du monde musulman à l'époque de Soliman le Magnifique. La magnificence du Grand Turc, la splendeur de sa capitale et les mystères de Topkapï éveillent la curiosité des visiteurs étrangers qui s'étonnent du bon gouvernement des Turcs, bien meilleur que le nôtre . Au XVIII e siècle, sous l'effet des luttes du Palais, le prestige de la Sublime Porte s'effrite. Une nouvelle manière de vivre apparaît alors: cafés, théâtres d'ombres se multiplient tandis que les rives du Bosphore se couvrent de yalis . Peu à peu, la cité passe de l'ottomanisme au cosmopolitisme. Les capitaux étrangers affluent, tout comme les romantiques et les archéologues. L'inauguration de l'Orient-Express, en 1883, accompagne la publication de guides touristiques... En moins d'un siècle, la vieille cité ottomane, déchue de son rôle politique dès les débuts de la République turque, allait devenir une mégapole bruyante et désordonnée, mais ses innombrables monuments nous disent encore sa gloire passée. Tous ceux qui ont vu Constantinople sont d'accord que cette ville est dans la plus belle situation qui soit au monde, en sorte qu'il semble que la nature l'ait faite pour dominer et commander à toute la terre. Jean Thévenot, XVII e siècle Le sérail du Grand Seigneur est la première chose que l'on voit en arrivant à Constantinople. Serraï en turc veut dire palais, et les Français, par corruption, disent sérail, le prenant seulement pour l'appartement où sont serrées les femmes. Jean Thévenot, XVII e siècle Rien ne se peut concevoir de plus charmant que cet abord de Constantinople. Lorsque j'y arrivai la première fois, je m'imaginai entrer dans une ville enchantée. G.J. Grelot, XVII e siècle Aucune cité n'a croqué les fruits du jardin des arts Avec autant d'appétit que notre ville C'est ici que tout homme de mérite atteint la gloire, Que toute perfection arrive à maturité. Nabi, XVII e siècle Une seule de tes pierres vaut un empire, Istanbul... O toi, sans pareil et sans prix. Nedim, XVII e siècle Robert Mantran, professeur émérite à l'Université de Provence, membre de l'Institut, a écrit de nombreux ouvrages sur le monde turc; sous sa direction a été publiée une Histoire de l'Empire ottoman, Paris, Fayard, 1989 . Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité D04865 JCV04865/01 Livre قاعة الإهداءات لمصادر المعلومات الدولية 949 Histoire des autres pays d'Europe Exclu du prêt